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Tag - Nécromancie

samedi 14 janvier 2023

Grimoire des Arts Nécromantiques (Édition Reliée)

Après plusieurs mois d'attente, non sans peine nous sommes enfin parvenu à faire imprimer la version reliée du Grimoire des Arts Nécromantiques ! Merci à vous tous et à vous toutes pour votre patience et votre soutien.

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Grimoire des Arts Nécromantiques Grimoire des Arts Nécromantiques
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40.00 €



dimanche 30 octobre 2022

4 Nouveaux Cercles Magiques à l'usage des Exorcistes

En réponse aux nombreuses demandes de certains de nos lecteurs et lectrices, ainsi que pour ceux et celles qui seraient tentés de pousser l'expérience encore un peu plus loin..

Nous sommes fièrs de vous proposer ces 4 nouveaux Cercles Magiques réalisés selon les informations décrites dans l'ouvrage intitulé Magia Naturalis et Innaturalis.

Ces différents Cercles Magiques seront utilisés pour pratiquer en toute sécurité selon les rituels détaillés dans l'ouvrage.

- Matériau: Tissu 100 % polyester avec bords cousus
- Dimensions: 2m x 1.75m
- Lavable à froid

Délai d'impression + expédition: 8 à 10 Jours.

NB: Nullum Experimentum de Spiritibus potest fieri sine Circulo praeparation ut in arte continetur.

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mardi 13 septembre 2022

Artis Nigromantica ~ Recueil de Nécromancie (Édition Brochée + Reliée)
Retrouvez ce nouveau titre de la Collection Bibliotheca Faustiana, proposé en version classique ainsi qu'en version deluxe.

Cet ouvrage s'inscrit dans notre série de traductions des textes de Magie Cabalistique Faustienne (Compendium Magicae Nigrae Vol.1 | Experimentum - Cabalae Nigrae). Il contient le Fac-simile du manuscrit intitulé Zauberhandschrift (Le Manuscrit Magique) ainsi que sa toute première Traduction française.

Nous savons bien peu de choses sur l'origine de ce manuscrit, et son véritable auteur demeure toujours inconnu à ce jour.

Cependant on peut estimer qu'il fut rédigé à la fin du XVIIIè siècle, époque ou la pratique de la Nécromancie comprenait notamment l'inhumation des trésors cachés. De par son contenu, nous pouvons aussi présumer qu'il fut rédigé en Allemagne ou dans une région germanophone. Tout le texte du manuscrit est crypté, cependant, le système de cryptage du texte est relativement simple; chaque caractère représentant une lettre latine.

A la manière du Lemegeton, ou bien encore du Liber Officiorum Spirituum, le Zauberhandschrif dévoile toute une hiérarchie d'esprits ainsi que leurs offices respectifs, leurs sceaux et leurs conjurations. Au fil des pages se dessinne alors une collection de sortilèges, ainsi que des invocations aux différents esprits qui seront appelés pour aider le praticien à la fois au sujet des choses matérielles, mais aussi pour des questions d’amour ou bien encore pour obtenir la guérison d'une maladie.

Le texte en lui même contient un grand nombre de similitude avec le Nigromantisches Kunst-Buch publié par Johannes Scheible (sous le pseudonyme de Peter Hammer) tout particulièrement au sujet des conjurations et des apparences des différents esprits.

Outre les Esprits aériens et chthoniens, les anges ainsi que le Christ sont également mentionnés dans le texte à de nombreuses reprises. Les invocations ainsi que les formules magiques présentent de nombreuses similitudes avec les formules invocatoires des contraintes infernales populaires germaniques, très en vogue au 17è et 18è siècle et souvent attribuées à Johannes Faust.

A vrai dire, il est fort probable que le Zauberhandschrif ait pu inspirer ou être une source textuelle pour Johannes Scheible. Enfin, on remarquera aussi sans trop de peine que certains passages du texte sont semblables en de nombreux points avec le texte contenu dans le Magia Naturalis et Innaturalis attribué à Johannes Faust.

Édition Classique (Brochée): 1ère éd. limitée à 100 exemplaires

Édition Deluxe (Reliée):  1ère éd. limitée à 30 exemplaires

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Artis Nigromantica ~ Recueil de Nécromancie Artis Nigromantica ~ Recueil de Nécromancie
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22.00 €



samedi 11 juin 2022

La Main de Gloire
"Ô Main de la Gloire verse ta lumière; Conduis-nous vers notre butin ce soir",
"Projette ta lumière, Ô main de squelette, Et guide les pieds de notre troupe fidèle !".

La Main de la Gloire est un ancien objet de magie noire, une sorte de chandelier macabre particulièrement prisé des scélérats qui confessaient parfois sous la torture s’être servis du sinistre instrument pour stupéfier ceux à qui ils l’avaient présenté, de telle sorte que leurs victimes en étaient restées comme immobilisées, pétrifiées, comme mortes. L'on dit aussi qu'elle possède la capacité, une fois allumée, d'endormir les individus à proximité et d'en rendre le possesseur invisible. La main de gloire est la main séchée et décapée d'un homme pendu , souvent désignée comme étant la main gauche ( latine : sinister ) ou, si l'homme a été pendu pour meurtre, la main qui "a fait l'acte". De vieilles croyances européennes attribuent de grands pouvoirs à une Main de gloire combinée à une bougie faite de graisse du corps du même malfaiteur qui est mort sur le gibet. La bougie ainsi fabriquée, allumée et placée (comme dans un chandelier) dans la main de la gloire aurait rendu immobiles toutes les personnes à qui elle était présentée. Le processus de préparation de la main et de la bougie est décrit dans des documents du XVIIIe siècle, certaines étapes étant contestées en raison de la difficulté à traduire correctement les phrases de cette époque. Le concept a inspiré des nouvelles et des poèmes du 19ème siècle.

Fabrication de la Main de la Gloire.

De la Main de la Gloire, qui est utilisée par les cambrioleurs pour rentrer dans les maisons la nuit, sans craindre d’opposition.

Le nom Main de la Gloire viendrait de la Mandragore, une plante aux vertus » magiques » qui était réputée pousser au pied des gibets, la semence des pendus faisant office de graine, et crier si effroyablement lorsqu'elle était arrachée de terre qu’elle pouvait rendre fous ceux qui s’y essayaient. Selon le Petit Albert, un ancien grimoire de magie prétendument inspiré des écrits d’Albert le Grand, pour fabriquer une Main de la Gloire, la recette était relativement simple. Il fallait se procurer la main d’un pendu au bord d’un chemin, de préférence la main gauche ou, s’il avait été condamné pour assassinat, celle qui avait servi à commettre le crime, puis l’envelopper dans un morceau de drap mortuaire et bien la presser afin d’en faire sortir le peu de sang qui pouvait y être resté. La main devait ensuite être conservée pendant quinze jours dans un pot de terre cuite avec du zimat, du salpêtre, du sel et du poivre long, le tout pulvérisé. Après l’avoir sortie du récipient, il convenait de l’exposer au grand soleil de la canicule pour qu’elle se dessèche et si la chaleur du soleil ne suffisait pas, alors il était possible de la faire cuire dans un four chauffé avec de la fougère et de la verveine.

Ceci étant fait, il fallait fabriquer une espèce de chandelle avec de la graisse de pendu (certains conseillaient de confectionner la mèche avec ses cheveux), de la cire vierge et du sésame de Laponie puis il suffisait poser la bougie ainsi préparée sur la main desséchée, cette dernière faisant alors office de chandelier, et la Main de la Gloire était prête. Quand la bougie était allumée, alors partout où le funeste instrument était amené les gens se figeaient et demeuraient immobiles, laissant ainsi le champ libre aux brigands qui pouvaient, grâce à ses pouvoirs maléfiques, déverrouiller les portes et ouvrir les cadenas des coffres sans effort. Une autre recette proposait de badigeonner le bout de chacun des doigts avec un certain onguent puis de les enflammer, créant ainsi cinq chandelles. Si l’un des doigts se révélait impossible à allumer ou si une flamme venait à s’éteindre, alors le voleur pouvait être assuré que quelqu’un avait résisté au sortilège et il risquait d’être démasqué. Selon certaines rumeurs, la Main de la Gloire pouvait également indiquer l’emplacement des choses cachées et révéler ainsi les trésors les plus habilement dissimulés.

Pour se protéger de ses prodiges, il existait néanmoins un remède, qui était presque aussi terrible que le mal. La Main de la Gloire perdait ses pouvoirs si le seuil de la maison, les fenêtres et tous les autres endroits par lesquels pouvaient entrer les voleurs, avaient été frottés avec un onguent composé de fiel de chat noir, de graisse de poule blanche et de sang de chouette, lequel devait avoir été préparé par grosse chaleur. Si, par malchance, la Main de la Gloire se trouvait déjà à l’intérieur, alors il était encore possible de briser le sortilège en éteignant sa chandelle avec du lait, tous les autres liquides se révélant inefficaces ou pire encore, alimentant sa flamme.

Le Dictionnaire Infernal de Collin de Plancy (ed. 1826) décrit lui aussi toutes les indications nécessaires pour 'fabriquer une Main de Gloire'..

Les origines de la Main de la Gloire restent un mystère mais en l’an 400 av. J-C. Hérodote racontait déjà l’histoire d’un voleur fort habile qui avait laissé derrière lui la main d’un mort afin d’éviter sa capture et Henry Boguet, le célèbre démonologue, y faisait allusion en 1590 dans son ouvrage Discours Exécrables des Sorciers. Particulièrement prisée au XVIIIe siècle, la Main de la Gloire connut un grand succès dans toute l’Europe, particulièrement en France et en Angleterre, et de nombreuses légendes rapportent les aventures, souvent malheureuses, de brigands qui tentent de s’en servir pour commettre leurs méfaits et se font attraper. Dans certaines histoires, le doigt d’un voleur suffit à produire les mêmes merveilles, et en Allemagne les doigts d’un enfant non-né sont utilisés.

Pour fabriquer cette version allemande de la Main de la Gloire, qui était alors appelée Les Lumières des Voleurs, la tâche n’était pas simple. Quand une voleuse ou une meurtrière se suicidait, était pendue ou décapitée et qu’elle portait un enfant, alors l’intéressé devait s’avancer sur les routes du Diable et se servant d’une hache ou d’un couteau ayant été utilisé par un bourreau, il lui fallait ouvrir le ventre de la pauvre femme, prendre l’enfant, couper ses doigts, et les emporter. La sinistre besogne devait être accomplie à minuit, dans la solitude et le silence le plus parfait. Pas même le plus faible des sons, pas de Oh, et pas un soupir ne devait s’échapper des lèvres de l’intéressé. Ainsi obtenait-il les lumières, qu’il pouvait faire brûler autant de fois qu’il le voulait et qui gardaient toujours la même longueur. Ces lumières magiques possédaient la propriété de s’enflammer à volonté quand leur propriétaire le souhaitait, et de s’éteindre tout aussi vite juste par la pensée. Avec leur aide, le voleur pouvait tout voir, même dans la nuit la plus dense et la plus sombre, partout et quand il le voulait. Cependant, ces flammes ne brûlaient que pour lui et pour personne d’autre. Elles le rendaient invisible même si elles illuminaient toutes choses autour d’elles et dans toutes les pièces où elles étaient amenées elles plongeaient les dormeurs dans un si profond sommeil que dix fois la foudre auraient pu frapper sur leurs têtes sans les réveiller.

Au début du XXe siècle, un tailleur de pierre et historien local, Joseph Ford, découvrit une main momifiée dissimulée dans le mur d’une chaumière de Castleton, dans le Yorkshire, et il la reconnut aussitôt comme une Main de la Gloire, celle dont parlaient de nombreux contes de la région. En 1935 il en fit don au musée Whitby, en Angleterre, où elle est toujours conservée. Elle est la seule Main de la Gloire authentique connue à ce jour.

Dans la vitrine où elle est exposée, se trouve également la copie d’un ancien texte écrit à la main qui a été publié dans un livre de 1823 et qui propose sa propre recette pour fabriquer une Main de la Gloire. Selon ce manuscrit, la main doit être coupée du corps d’un criminel sur le gibet, puis marinée dans du sel, de l’urine d’homme, de femme, de chien, de cheval et de jument. Le tout doit être fumé avec des herbes et du foin pendant un mois, puis la main doit être accrochée à un chêne pendant trois nuits de suite, puis à un carrefour, puis à la porte de l’église pendant toute une nuit alors que l'opérateur monte la garde sous le porche et si la peur ne le chasse pas, alors la main sera vraiment gagnée, et elle sera sienne.

Celle du Surnatéum fut acquise à Londres, dans les années 20. Le nom de Main de Gloire dériverait du mot " Mandaglore ", lui-même tiré de la Mandragore, cette racine magique fort prisée par les occultistes des siècles précédents. Le modèle du Surnatéum comporte cinq chandelles, une pour chaque doigt. La tradition veut que dans ce cas, si la chandelle du pouce ne s'allume pas, c'est que l'une des personnes visées par le sort de fascination ne se laissera pas atteindre et fera capturer le voleur. Dans ce cas, le cambrioleur évite prudemment la maison. Pour contrer le sort d'une Main de Gloire, la légende veut que l'on jette du lait pour éteindre les chandelles.

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Magia Naturalis et Innaturalis Magia Naturalis et Innaturalis
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80.00 €



Compendium rarissimum totius Artis Magicae.. (Ms 1766) Anno 1057

Compendium rarissimum totius Artis Magicae...(Ms 1766) Anno 1057.

Encore un magnifique Ms conservé au sein de la Wellcome Library.. En voici les détails: Daté approximativement vers 1775  // Sujet: Magie & Démonologie // Genre Archives.

Résumé: Rédigé en allemand et en latin. Sur papier blanc, brun et gris-vert. Le titre est inscrit au sein d'une bande ornementale, avec des crânes, des squelettes et des os croisés. Illustré de 31 extraordinaires aquarelles de démons, et trois pages de signes, sigils magiques et cabalistiques, etc. A la fin de l'ouvrage, les chiffres sont écrits en rouge, et une partie du texte est écrite en blanc sur papier gris-vert.

On trouve de magnifiques illustrations de créatures au sein des pages du Compendium rarissimum totius Artis Magicae sistematisatae per celeberrimos Artis hujus Magistros (Résumé des plus rares, de l'ensemble de l'art magique, mis en place par les plus célèbres maîtres de cet art) un livre rare sur la datation occulte de 1775 qui est détenu par la Bibliothèque Wellcome. Le volume est écrit dans un mélange de latin et allemand et contient 31 illustrations à l'aquarelle du Diable et ses serviteurs démoniaques avec trois pages de caractères magiques et autres symboles rituels.

Les illustrations sont un mélange de monstres mythiques gréco-romains (tels chimères comme Cerbere et l'Hydre), de dieux phéniciens (Astarté / Astaroth) et de démons bibliques (Belzébuth, Satan), alors que certains aspects semblent inspirés par le témoignage du massacre des hommes et bêtes sur les champs de bataille européens. L'affirmation selon laquelle le livre daterait de 1075 fût rejetée.

Avec l'avertissement "NOLI ME TANGERE" ("Ne pas toucher") sur sa couverture, ce recueil peut être considérée comme une dernière tentative, par ceux de la foi, pour instiller la peur parmi les superstitieux. Après tout, le Compendium Artis Magicae a été produit au cours de la décennie de révolutions (américaines et française) et à l'âge des Lumières quand la raison, la science et la puissance de l'individu dominé, et les premiers frémissements de l'industrie étaient sur le point de changer l'Europe et le monde. Les procès des sorcières horribles des XVIè et XVIIè siècles étaient depuis longtemps bannis et la dernière exécution en Angleterre pour sorcellerie eut lieu en 1716 (1727 en Ecosse, 1750 en Autriche, 1782 en Suisse), alors que la pratique de la sorcellerie n'a cessé d'être une infraction pénale à travers l'Europe qu' au cours du siècle (Angleterre 1735) ce qui rend ce Compendium Artis Magicae d'autant plus étrange.

Caractères des Mauvais esprits. f.30v. nous trouvons une description de la hiérarchie démoniaque employée: Les quatre rois: Lucifer. Léviathan. Satan. Belial. Leur huit ducs: Astaroth. Magoth. Asmodai. Belzebub. Oriens. Baimon. Aritton. Amaimon. Et douze sujets: Morech. Nabhi. Tirama. Nudaton. Zagrion. Carufur. Rigalon. Zugula. Ramaison. Kilik. Sumuran. Aloggiell.

Ce système correspond étroitement, mais avec des différences d'orthographe, avec celles trouvées dans The Book of Abramelin (Dehn, Guth, 2006) jusqu'aux noms des 12 premiers esprits soumis aux ducs. Ceux-ci sont les plus proches dans leurs formes de l'édition Peter Hammer, publiée en 1727 à Cologne. Il y a peu de cohérence entre la hiérarchie et les sceaux présentés.

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